mardi 9 décembre 2008

Catherine Ringer chante les Rita Mitsouko



Catherine Ringer chante Les Rita Mitsouko à La Cigale

CD+DVD intégral du concert à La Cigale

Je vénère ce groupe depuis mon adolescence. En boite de nuit, je devenais comme un fou lorsque j'entendais la voix de catherine Ringer s'égosiller sur Marcia Baila.

Après la mort de Fred Chichin, Catherine Ringer décide de continuer la tournée des Rita Mitsouko. Je n'ai malheureusement pas eu la chance d'assister au spectacle. Avec la sortie du live enregistré à la Cigale au mois de juillet 2008, je tente de combler mes lacunes.

Catherine Ringer est une artiste, une vraie, qui chante admirablement bien. Les paroles sont souvent absurdes ou émouvantes et en décalage avec les effets de modes et les productions niaises actuelles. Bref, les Rita traversent les années sans se soucier du quand dira-t-on! Ils tracent leur chemin à leur façon et ils ont bien raison.

Catherine a du charisme sur scène et elle alterne les performances vocales. Que va-t-elle devenir maintenant que son compagnon et compositeur de la musique et des textes est disparu? Mystère! Mais en attendant, plongez dans l'univers unique et décalé du concert des Rita. En bref, classe!

C'est avec émotion et la larme à l'oeil que le live s'achéve. Les Rita viennent de terminer leur histoire qui durait depuis maintenant vingt ans. C'est triste. Une autre page s'ouvre... J'espère!

La triste fin du petit enfant huître et autres histoires



La triste fin du petit enfant huître et autres histoires

De Tim Burton (USA)

J'aime beaucoup l'univers de Tim Burton. Je trouve ses films originaux et sympathiques. Par hasard, je tombe sur un recueil de poémes et de petites histoires de l'ami Tim.

Le livre se lit très vite. En trente minutes le bouquin est terminé. Bilan?

Les histoires de ce recueil sont dénuées du moindres intérêts. Ce qui marche visuellement avec la réalisation de Tim Burton ne fonctionne pas en littérature. Les misérables 120 pages à diviser en deux puisque le livre est édité en version anglaise et francaise simultanément. Chaque page comporte une illustration et au maximum cinq ou six phrases.

A dix euros l'exemplaire, on appelle ça de la fumisterie ou du foutage de gueule. Difficile de se retenir pour ne pas jeter ce truc par la fenêtre. Peut-être la peur de blesser un voisin!

vendredi 5 décembre 2008

Kafka sur le rivage



Kafka sur le rivage

De Haruki Murakami (Japon)

Voilà, c'est avec tristesse et un gros pincement au coeur que je viens d'achever le dernier livre qu'il me restait à lire de ce grand auteur Japonais. Nous sommes face à un roman initiatique ou l'auteur fait preuve d'une grande imagination.

Kafka, quinze ans fuit sa maison pour échapper à une prophétie que son père a prononcé contre lui. Nakata, vieil homme et simple d'esprit décide lui aussi de partir, attiré par une force qui le dépasse. Lancés dans une folle aventure, nos deux héros vont croiser en chemin une mère fantôme, un étrange colonel, des poissons tombant du ciel et un chat qui parle. Les destins de ces êtres vont se cotoyer et ils vont découvrir chacuns leur propre vérité.

Résumer un livre de Haruki Murakami n'est pas chose facile. Surtout celui-ci! Je suis fasciné devant la finesse de l'écriture et l'intelligence du propos. Dans ce roman, l'auteur nous plonge avec délice et comme à son habitude entre rêve et réalité. Murakami flirte avec le fantastique. Kafka sur le rivage est un roman magnifique et j'ai pris une grosse claque dans la tronche. Un auteur qui aligne les romans sans jamais se répéter. C'est rare! Ce type est un pépite d'or.

Alors, si vous souhaitez oublier vos soucis, si vous désirez vous évadez, dépêchez-vous de lire Haruki Murakami. Seule critique négative: le roman ne fait que 638 pages. C'est court, beaucoup trop court! C'est frustrant! On achéve le livre à contrecoeur tellement on souhaite que celà ne finisse jamais. Tellement c'est beau!

Les seigneurs de la mer

Les seigneurs de la mer

Un documentaire de Rob Stewart (Canada)

Au milieu des hommes nagent des squales. Ainsi débute ce reportage sur les requins. On aurait pu dire également: Au milieu des squales nagent quelques humains. Là je m'égare.

Le requin est un animal diabolisé par les médias et un film célébre, qui lui a fait une sale réputation. De nos jours, les requins sont massacrés pour satisfaire des restaurateurs qui vendent leurs ailerons à prix d'or. L'espèce est sérieusement menacée et le documentaire nous démontre l'importance de protéger les squales. En effet, les requins jouent un rôle capital dans la chaine alimentaire et l'ecosystème. Le reportage est engagé et on imagine les risques qu'à du prendre son réalisateur. On apprend que la France est le deuxième pêcheur de requins en Europe. Les requins tuent cinq personnes par an dans le monde. Dans certains pays, on utilise des chiens vivants comme appâts. On leur accroche un énorme hameçon à la patte ou en travers de la gueule. Ensuite, on balance la pauvre bête sanguinolante à la flotte. Quelle boucherie! Je pense qu'on devrait essayer de mettre le pêcheur comme appât.

Au final, un documentaire très instructif, même si vous n'aimez pas les requins. Les images sont sublimes. Des images qui nous font culpabiliser d'être un être humain. Mais je mettrais un bémol... A ton besoin de voir tous ces massacres filmés en longs et en larges pour nous sensibiliser sur la cruauté humaine. Par moment, certaines scènes sont véritablement insoutenables. On sait déjà que l'homme est un redoutable prédateur, un loup affamé de pouvoir et d'argent. Pas la peine d'en rajouter...


mercredi 12 novembre 2008

Le cauchemar de darwin



Le cauchemar de Darwin

Un documentaire de Hubert sauper

En tanzanie, dans les années 60, la perche du Nil fut introduite dans le lac Victoria à titre d'expérience scientifique. Depuis, quasiment toutes les autres espèces ont disparues des eaux du lac. Car la perche du Nil est vorace, très vorace.

De cette expérience catastrophique pour l'environnement et la population locale, est née une industrie fructueuse. La perche du Nil est exportée dans le monde entier. Dans le ciel tanzanien, d'immense avions-cargos forment un ballet incessant au-dessus du lac. Ce commerce ouvre la porte à un autre trafic: celui des armes.

Le documentaire a été tourné en quatre ans. Quatre années pour un reportage d'un peu plus de 1 h 40. Mais le résultat est présent. Le cauchemar de darwin est un reportage choc. Comment rester de marbre en voyant ces gamins se battre pour une poignée de riz. L'énorme explotation des perches du Nil a alimenté des trafics odieux. Tout le personnel naviguant de ces immenses avions balayant le ciel à toutes heures du jour et de la nuit, porte (pas tous) dans leurs soutes des armes. Ils repartiront avec une cargaison de poissons. On appelle cela du troc, un échange commercial. Aux abords des hôtels ou logent le personnel en transit, des prostituées vendent leurs corps pour trois sous. Au passage, elle se font tabasser voir tuer pour les moins chanceuses dans l'indifférence générale. On est dans le scabreux mais le réalisateur reste sobre devant son sujet.

La tanzanie est un pays au bord de la famine. Toute sa richesse (La perche du Nil) est exportée alors que ses enfant crévent de faim. C'est injuste et scandaleux.

Je vous invite à visionner ce document passionnant. Pour réfléchir sur les dérives de la mondialisation et l'exploitation de l'homme par l'homme. Oui, l'homme est vraiment un prédateur redoutable avec ses congénères.

Vous ne regarderez plus une croquette de poisson dans votre assiète du même oeil.

A voir absolument! C'est bouleversant et révoltant!

dimanche 9 novembre 2008

Terreur



Terreur

De Dan Simmons ( USA)

Le livre pèse près d'un kilo. Moi qui aime bien lire confortablement allongé dans mon canapé, j'ai attrapé des crampes aux bras. Mais finalement peu importe, quand on aime on peut faire des efforts surhumains en dépassant la souffrance.
Avec ce pavé de 700 pages écrit en petits caractères, on passe aux choses sérieuses. car Terreur, c'est du lourd!
L'histoire est inspirée de l'expédition de Franklin en 1845 partie explorer le grand nord à bord d'un navire. Cette expédition a pour objectif de trouver un passage entre l'océan Atlantique et pacifique. les 130 membres d'équipages disparurent mystérieusement.
Voilà pour les faits historiques. Dan simmons imagine ce qui a pu arriver à ces hommes. Dès le début du roman, on est plongé dans une atmosphère glaciale, oppressante et impressionnante. Une étrange créature s'en prend aux hommes. La mutinerie menace dans cet enfer blanc.
On s'y croit réellement. En lisant, j'étais pris de frissons. La maison est chauffée mais je ne pouvais m'empêcher de ressentir une sensation de froid.
Le rythme est lent mais on ne s'ennuie jamais tellement c'est dense. L'auteur prend le temps de poser les personnages. Et c'est tant mieux! Car l'écriture est remarquable.
Terreur est un savant mélange de genre. Tout à la fois roman historique, d'aventure et de fantastique. C'est un livre impressionnant, et je dois dire que les 100 premières pages sont vraiment stupéfiantes.
Dan Simmons est le pote de Stephen King. Les deux hommes se connaissent très bien et s'apprécient. Et j'ai envie de rajouter que l'élève a dépassé le maître de l'horreur. Oh oui! Alors on se lève et on fait une standing ovation pour monsieur Simmons. Car Terreur est un grand roman. Un très très grand livre. Le meilleur roman que j'ai lu cette année.
Vous savez ce qui vous reste à faire. Lisez Dan Simmons. Lisez Terreur. Vite!

mardi 4 novembre 2008

Superman Barack Obama



Superman

Je ne suis pas un spécialiste de la politique. Je deteste ça! Pour moi, quel que soit le parti, nos représentants pensent juste à leur confort personnel et au pouvoir.

Mais un événement m'a interpellé: L'élèction du président du monde. ( Euh...des USA)

En ce jour du 5 Novembre, les Américains viennent d'élire un homme de couleur à la tête de leur pays. Et lors de son discours d'après élèction, à 6 heures française, (Je l'ai suivi en direct car je fais parti de ces personnes qui servent leurs pays à toutes heures)le présentateur annonce l'entrèe en scéne du nouveau président en déclarant:

- Et voici, mesdames et messieurs, le premier président NOIR des Etats-Unis.

J'ai sauté au plafond. J'espère que cet homme a été élu pour ses idées et non pour sa couleur de peau. Le présentateur aurait du dire: Voici, mesdames et mesieurs, le nouveau président des Etats-Unis. Car le présenter comme le premier noir à la tête du pays, c'est signaler sa différence, et finalement le rabaisser. Alors, à quand le premier président mesurant plus de 2 mètres, à quand le premier président nain, à quand le premier président obése, le premier président végétarien, etc...

Imaginer le présentateur s'écriant:

- Mesdames et messieurs, voici le premier travello président de notre grand pays.

Celà n'a aucun sens de présenter des gens de cette façon! Donc je pense qu'on doit le nommer Barack Obama ou maintenant, monsieur le président. Car finalement sa couleur de peau, on s'en tape le coquillard! L'important c'est qu'il soit compétent dans sa fonction.

Pour en arriver là, ce type a certainement du défoncer des portes, abaisser des barrières et se battre deux fois plus que tous ses adversaires. Un pays ou il existe encore des mouvances tel que le ku klux klan. Celà fait peur. Et pour celà, respect mec!

Je ne sais pas s'il fera un bon président, (D'ailleur qu'est-ce qu'un bon président?) mais je suis certain d'une chose: ce sera difficile de faire plus mauvais que son prédécesseur. C'est mon avis, il n'engage que moi.

Alors pour finir, Barack Obama est le 44 eme président des Etats-Unis tout simplement. Je pense qu'en Europe, ce n'est pas demain la veille qu'on va voir un homme de couleur chef de l'état. Et je dois avouer que sur ce coup là, les States donnent une leçon de tolérance et d'intégration au monde entier.

Alors, Monsieur le président Barack Obama, je m'incline.

samedi 1 novembre 2008

10 000



10 000

Un navet de Roland Emmerich

De beaux effets spéciaux ne suffisent pas pour faire un bon film. Il est primordial de filmer une histoire qui tienne la route. Le réalisateur ne doit pas le savoir. Un scénario qui doit tenir sur un emballage de bonbon, tellement il est maigre.

10 000 avant notre ère, un jeune chasseur amoureux d'une jeune fille, poursuit les méchants qui l'ont enlevé. (Brrrr!)

Le film accumule les incohérences. Des hommes préhistoriques qui ont les dents aussi blanche me laisse sans voix. Le héros sauve un tigre à dents de sabre de la noyade. Plus tard, ce même tigre, épargne notre jeune chasseur de la mort. On nage dans le n'importe quoi! Au bout de dix minutes de film, on se fou complétement de l'histoire tellement c'est dénué du moindre intérêt. Seul les paysages et les effets spéciaux sauvent le film de la catastrophe. Mais pas du naufrage.

Vite vu, vite oublié!

vendredi 31 octobre 2008

Daphné disparue



Daphné disparue

De José carlos Somoza (Espagne)

Je trouve la couverture immonde. Et elle n'a aucun rapport avec le sujet du livre. Enfin, là n'est pas le plus important. Car le contenu est remarquable.

Je suis tombé amoureux d'une femme inconnue. Ainsi débute l'histoire de cet écrivain qui perd la mémoire après un accident de voiture. A la recherche de son passé, il se lance à la poursuite de cette femme mystérieuse. Car la première phrase du récit est la dernière chose qu'il a noté sur son carnet avant son dramatique accident.

L'écriture est lumineuse et les 210 pages se lisent en un rien de temps. Cette histoire est passionnante et haletante. Et la chute est comment dire...inatendue. Mais chut!

En bref, ce livre est un gros coup de coeur. Un livre original, écrit pour les amoureux des livres.

La grande classe! Du grand art!

mercredi 29 octobre 2008

Un jour sans

Un jour sans

De Mark Mcnay (Ecosse)

Ce roman d'un peu plus de 200 pages, narre l'histoire de Sean, jeune ouvrier Irlandais, qui travaille dans une usine de conditionnement de poulets. Son frère, en prison lui a avancé de l'argent. Sean en a dépensé une grande partie et il ne sait pas comment il va rembourser sa dette. Mais voilà, son frère sort de prison et compte bien récupérer ses billets.
On apprend beaucoup de choses sur les us et coutumes des poulets. Sur la difficulté d'exercer un tel métier aussi.
Un roman pas inintéressant, truffé d'humour, au style classique. Une histoire sur la culpabilité, l'ennui et...les poulets.

Bref, un roman sympa. Sans plus!

jeudi 23 octobre 2008

Un goût de rouille et d'os



Un goût de rouille et d'os

De Craig Davidson (Canada)

Craig Davidson est un jeune auteur Canadien talentueux. Il nous propose huit nouvelles percutantes. Des histoires qui sentent la bière, la sueur, le cuir et le sexe. Vous l'aurez compris, c'est de la littérature pour les mecs. On y parle boxe, combats de chiens et sexe.

Les nouvelles sont mordantes comme un pitt bul et piquantes comme un cactus. Craig Davidson tape fort, il nous assène de magistraux uppercut. Ce livre est un régal, facile de lecture et pas prise de tête. N'hésitez pas à foncer tête baissée dans son livre!

Pixel juice



Pixel Juice

De Jeff Noon ( Angleterre)

Pixel juice est un recueil de nouvelles. Des histoires bizarres, très étranges. Elles se déroulent dans un Manchester futur et sont peuplées de personnages et d'objets insolites. Un recueil qui fourmille d'idées, composé d'histoires courtes, de poèmes et de récits racontés à la première personne. On est transporté dans un univers tellement étrange et déroutant que j'ai vite décroché. le voyage que nous propose Jeff Noon n'est pas facile à accepter.

Au final, un livre très original (trop!) par son propos, un ovni littéraire comme il en existe peu. Mais les histoires sont justement trop étranges pour que j'y accorde de l'intêret.

Un bouquin déjanté à lire sous exta. A vous de voir! Moi, je passe...!

Coup de gueule


Ce matin en écoutant la radio, j'apprends que le gouvernement a débloqué 10,7 milliards d'euros pour sauver les banques de la faillite. (Cause crise financière) J'avoue que j'ai du mal à me représenter une telle somme. Alors qu'on nous clame depuis de nombreuses années que les caisses de l'état sont vides, visiblement pour les banques, on a de l'argent.

Pour les pauvres, non! Crevez en silence, s'il vous plaît!

Je suis perplexe!

mercredi 22 octobre 2008

Into the wild



Into the wild

Un film de Sean Penn

Il est au sein des bois un charme solitaire. Un pur ravissement aux confins du desert. Et de douces présences où nul ne s'aventure. Au bord de l'océan qui gronde et qui murmure. Sans cesser d'aimer l'homme, j'adore la nature.

On pourrait résumer ce film avec cette citation qu'on peut lire sur la jaquette du DVD. Un hommage à la nature.Nous suivons Chris, un jeune homme brillant. Il vient de réussir son diplôme universitaire et doit entrer à Harvard.Ses parents ont une bonne situation et l'encourage. Seulement lui, il s'en fou. Il laisse tout tomber et part pour l'Alaska, seul, sans rien dire à personne. Chris préfère fuir ce monde qui le fait vomir plutôt que de l'affronter. pendant son long périple, il apprendra beaucoup de choses sur la nature et l'espèce humaine. Nous aussi!

Les images sont magnifiques et la bande originale également. Le film est inspiré d'une histoire vraie. Un film bouleversant malgrè une première demi heure balbutiante. Le voyage à travers la nature sauvage américaine vaut largement le détour.



La vie rêvée des plantes

De Lee Seung-U (Corée du Sud)

C'est l'histoire de deux frères amoureux de la même femme. Mais seul l'un des deux est aimé de la belle. La jalousie sera fatale à l'amour qu'il porte à son frère et il sera même indirectement fautif de la perte de ses deux jambes. Ensuite, au fil des chapitres, il tente de réparer le mal qu'il a causé. En parallèle, on suit la relation entre leurs parents. Un père qui ne parle jamais aux humains mais uniquement à ses plantes. Il rêve d'ailleurs de se réincarner en elles. « mon père choyait ses plantes dans le jardin. Il m’avait expliqué alors qu’il fallait les aimer d’un cœur sincère. Qu’elles savaient si les hommes mentaient ou non. Qu’un amour factice ne pouvait provoquer de réaction chez elles (p.276) »… Dès le bébut du livre, on sent que ce n'est pas un livre comme les autres. Tout d'abord, le livre est magistralement écrit. Ce diable de Lee Seung-U sait raconter une histoire. Ensuite, l'histoire est riche et dense. Le roman est poignant et vous garderez longtemps en mémoire cette magnifique histoire.Un roman hors normes, attirant comme une belle femme. C'est beau, c'est fort, c'est violent, parfois noir et glauque. Mais c'est avant tout superbe! Je vous ordonne dans faire votre prochaine lecture. Vous me remercierez de vous avoir fait découvrir cette pierre précieuse.



Bonjour à tous et bienvenue sur mon blog. Je m'appelle Calamar et ce site a pour but de vous faire partager mes critiques littéraires et cinématographiques.